Bienvenue
dans le monde des douze !
Une terre paisible où régnait la magie des Dofus, six œufs de dragon, symboles de puissance et porteurs d'espoir jusqu'au jour terrible où ils furent dérobés.
Depuis, l'harmonie est pertubée. Éléments et monstres se déchaînent. Le monde a besoin d'un héros ! L'aventurier qui retrouvera les Dofus entrera dans la légende...
mardi 23 février 2016
Il y a quelques temps, nous apprenons que XyaLe serait désormais accompagnée de Nyom afin de gérer la communauté francophone et notamment celle de Dofus Touch. C'est au tour de Kylls
de rejoindre l'équipe, nous lui souhaitons la bienvenue, du courage
ainsi que la réussite de ses futurs projets entrepris aux côtés de
XyaLe.
Bonjour à tous !
Je viens ici me présenter, puisque nous allons être amenés à interagir ensemble fréquemment dans les prochains mois.
Joueur
depuis près de dix ans, je suis fier de rejoindre aujourd'hui l'équipe
de Community Management sur la communauté francophone de Dofus,
déjà formée de [XyaLe] et [Nyom]. J'occuperai le poste de Community
Manager en binôme avec [XyaLe], afin de renforcer encore le lien
existant entre la communauté du jeu DOFUS et Ankama.
Déjà animateur actif de la communauté DOFUS sur les réseaux sociaux tels que Youtube et Twitch,
où certains ont déjà pu me rencontrer, je concentrerai mon travail sur
le développement des chaînes officielles du jeu associées à ces
plateformes. Cela fera de moi un lien privilégié entre les Youtubeurs,
les Streameurs, et l'équipe de production. De plus, il va sans dire
que la présence de deux Community Managers au lieu d'un seul favorisera
notre présence sur les différents réseaux sociaux associés à DOFUS, à
commencer par ce forum. Notre objectif est d'être toujours plus à votre
écoute, et de répondre le plus rapidement possible à vos questions.
Plongé
dans cet univers depuis mon adolescence, je suis très heureux de
prendre mes nouvelles fonctions, et ai déjà hâte d'être ce pont entre
vous, joueurs, et les équipes DOFUS.
Si vous souhaitez savoir qui se cache derrière ce nouveau pseudonyme, je vous donne rendez-vous pour un DOFUS Live demain à 17h, dont voici le programme :
- Présentation des Huppermages et de la Dimension Ecaflipus avec [Briss] et [Kylls] - Présentation des nouveaux thèmes Havres-Sacs - Séance de questions/réponses avec [Briss], Game Designer - Retour sur Dofus Le Film avec [Poupik] et [Mazura]
Avec Dofus, puis Wakfu, la société Ankama a réussi le pari un peu fou de s’imposer sur le marché très concurrentiel du MMORPG.
Si ces deux titres sont loin d’avoir égalé les géants du milieu, le
succès à tout de même été au rendez-vous pour la firme roubaisienne qui a
depuis déployé tout un écosystème autour des franchises qu’elle a
créées (comme le prouve le film d’animation encore présent dans les
salles de cinéma). La recette de leur succès ? Un gameplay solide
reprenant dans les grandes largeurs les codes du MMO,
des graphismes simples mais très agréables à l’œil sublimé par une
direction artistique formidable, et un univers très accrocheur,
familier, empli de clins d’oeils à la culture populaire et autres
blagues bon enfant. En sus de Dofus et Wakfu, Ankama a aussi su se
développer en proposant de nombreux titres annexes, notamment sur mobile
qui a vu passer quelques très bons titres récemment (Wakfu Raiderschroniqué dans nos colonnes par exemple).
Aujourd’hui, Ankama se lance dans une aventure plus ambitieuse en
s’apprêtant à sortir sur tablettes une version revisitée de Dofus.
Version que nous avons pu tester à l’occasion de la bêta fermée qui
s’est déroulé ces dernières semaines. Et le moins que l’on puisse dire,
c’est que ce Dofus Touch s’en tire plutôt bien.
Comme dans tout bon MMO qui se respecte, Dofus Touch
débute par la création d’un avatar. Les connaisseurs de la franchise ne
seront pas perdus, puisque cette itération mobile s’avère une copie
conforme de l’original dans sa version 2.14. Au programme des
hostilités, 15 classes de personnages disponibles (jusqu’au Steamer
donc) avec chacun leurs spécificités et autres attributs. Un petit tour
par la case personnification pour ajuster les derniers détails de notre
personnage, et nous voilà propulsé sur les terres d’Incarnam qui sert de
zone tutorielle. Là, différents personnages nous apprendrons les bases
du gameplay à grand renfort d’infobulles et autre quêtes Fedex
simplistes. Une bonne manière d’aborder le jeu, et d’appréhender les
différents menus qui peuplent l’interface. Après avoir appréhendé les
bases, il sera possible d’aller crapahuter sur toute l'île céleste
d’Incarnam afin de découvrir quelques mécaniques de gameplay avancées,
et on pourra bien vite se familiariser avec les Métiers, l’Artisanat ou
encore les raids au sein de donjons, le tout se faisant de manière très
simple et organique. Une fois ces bases intégrées, et après avoir
accompli quelques quêtes, il sera possible d’aller vivre la grande
aventure de Dofus en partant vers Astrub, la véritable zone de départ
pour tout joueur de Dofus.
L’aventure c’est l’aventure
Les menus, extrêmement simples et ergonomiques.
Comme signalé un peu plus haut, Dofus Touch n’est ni plus ni moins
qu’un portage total du MMO d’Ankama sur mobiles. A ce titre, le contenu
du jeu ne varie pas d’un iota par rapport à la version originale (si ce
n’est que les mises à jour les plus récentes ne sont pas intégrées), et
l’essentiel des changements porte sur l’intégration des contraintes
liées au support mobile. Une intégration qui, il faut bien l’avouer,
s’avère très réussie. A commencer par l’ergonomie des menus, un
élément important lorsque l’on parle de MMO tant le nombre d’information
à afficher est important. De la barre d’action à la navigation au sein
des menus, tout a été fait pour viser la simplicité. En quelques
pressions du doigt, il est possible d’accéder à n’importe quel item des
différents menus sans jamais que l’on soit perdu. Cette simplicité de navigation, et d’utilisation en général fait que l’expérience de jeu proposée par Dofus Touch
s’avère très douce et agréable, sans accros particuliers. Une
simplicité que l’on retrouvera dans tous les aspects du jeu. Dofus Touch
a conservé le découpage du monde en divers écrans que l’on traverse
successivement, à la manière des plus vieux Action RPG.
Là encore, une simple pression du doigt suffit à indiquer à son
personnage où se rendre. Une pression sur le bord de l’écran permet de
passer à l’écran suivant. Cette philosophie du one-touch appliquée à
tous les volets du jeu est sans aucun doute le choix qu’il fallait
adopter pour ce support, et on ne pourra que féliciter Ankama pour l’avoir effectué.
En combat, le placement à son importance.
Au-delà de l’exploration, Dofus repose avant tout chose sur les
combats. Pour cette version Touch, il sera possible de retrouver les
combats au tour par tour qui ont fait le succès de la série. Pas de
changements majeurs à souligner ici : chaque classe dispose de
compétences qui lui sont propres, et qu’il faudra utiliser avec
parcimonie et tactique afin de triompher des différents monstres qui se
dresseront sur notre chemin. Là encore, Ankama a parfaitement
adapté son système aux contrôles tactiles, et il suffira d’un seul et
unique doigt pour combattre. Cette facilité d’utilisation, et la
fluidité que cela entraîne rend le jeu incroyablement facile à maîtriser,
donnant ainsi l’occasion de se focaliser sur la stratégie et uniquement
celle-ci. Au cours de nos pérégrinations, il nous aura cependant été
possible de repérer un élément qui vient entâcher cette expérience par
ailleurs très plaisante. Lors de certains combats, le décor vient
parfois gêner la lisibilité de l’action, empêchant par exemple de cibler
un monstre. Il m’a en effet été impossible à certains moments de
changer l’angle de la caméra pour contourner un obstacle, et obtenir une
vision complète du combat. Cependant, une option sous la forme d'un
bouton dans l'interface, certes difficile à débusquer, permet de
désactiver le décor et nous aide à appréhender les combats. Un problème
mineur en définitif.
Graphiquement, le jeu s'avère très réussi, peu importe l'appareil.
Que ce soit au niveau du gameplay ou de l’ergonomie globale du titre,
Dofus Touch s’avère indéniablement réussi. Ankama a pris le temps de
faire les choses bien, et cela se voit. Un travail bien fait qui se
reflète aussi sur la partie technique du jeu, qui offre une prestation
plus qu’honorable sur la plupart des machines. Graphiquement,
c’est avec un grand plaisir que l’on retrouve la patte d’Ankama, avec
son chara-design si particulier, et plein de charme. Si l’on excepte les
appareils les plus vieux (l’iPad 2 utilisé pour réaliser cet aperçu
ayant craché ses tripes plus d’une fois), Dofus Touch tourne sans aucun
problème, et demeure très fluide en toute situation, alors même
qu’il ne s’agit que d’une bêta. Les serveurs ont l’air de tenir le coup
pour le moment, mais il ne sera possible de juger cette donnée que
lorsque le jeu sortira pour de bon, le nombre de joueurs présents sur
cette bêta étant bien évidemment limité. Avant de conclure, évoquons un
peu le modèle économique de ce Dofus Touch. Contrairement à Dofus, il ne
sera pas ici question de débourser chaque mois un abonnement. Mobile
oblige, il sera cependant possible d’accéder à une boutique permettant
d’acheter divers objets contre de l’argent bien réel. Si l’essentiel de
ces achats intégrés concerne des changements purement cosmétiques
(montures, familiers, apparences), il sera aussi possible d’y trouver
des bonus d’expérience et autre boosts permettant de progresser plus
rapidement. Ankama précise cependant que tous ces contenus « premiums »
pourront aussi être acquis avec des Kamas, la monnaie du jeu. Reste à
savoir l’impact qu’aura cette pratique sur l’écosystème du jeu lorsqu’il
sera lancé.
Parce que nous sommes conscients que le projet DOFUS Tablette doit faire
naître en vous de nombreuses questions, voici une petite F.A.Q. qui
saura répondre à vos principales interrogations !
►Quand est la sortie est-elle prévue ?
La
date exacte est encore indéterminée. Plusieurs phases de test seront
nécessaires avant de rendre le jeu accessible au grand public, afin de
peaufiner la version et nous assurer que tout fonctionne correctement.
Selon les résultats obtenus, nous pourrons fixer une date de sortie. Toutefois, nous faisons notre possible pour que les premiers tests puissent avoir lieu avant la fin de l’année.
►Est-ce qu’il y aura le même système d’abonnement avec les Packs et les Ogrines ?
Nous
réfléchissons actuellement au modèle économique de cette version, qui
dépend notamment des contraintes que les différents « stores » imposent.
Nous pensons bien sûr à conserver le système actuel, mais nous en
envisageons également de nouveaux qui seraient plus adaptés aux jeux sur
Tablette. À ce jour, ce point n’est donc pas encore défini.
►Est-ce que je pourrai utiliser mon compte Ankama/DOFUS actuel ?
Nous
faisons en sorte que cela soit possible, mais dans tous les cas, vous
ne pourrez pas jouer avec vos personnages actuels. Il sera nécessaire
d’en créer de nouveaux, comme si vous arriviez sur un nouveau serveur de
jeu. Inversement, vous ne pourrez pas jouer sur la version PC avec vos personnages créés sur Tablette.
►Pourquoi est-ce que je ne pourrai pas utiliser mes personnages actuels ?
Tout
simplement parce que les versions PC et Tablette ne seront pas
identiques et non synchronisées ; la version tablette devrait sortir en
2.14 alors que le client PC sera bientôt en version 2.29. Imaginez
que votre personnage sur la version PC possède une panoplie qui a été
intégrée en jeu en 2015 : cette panoplie n’existera pas dans la version
Tablette. Il y aurait donc des incohérences. Inversement, votre
expérience de jeu sur la version Tablette ne peut pas influer sur celle
que vous possédez actuellement sur la version PC.
►Pourquoi les versions sont désynchronisées ?
A
l’origine, il s’agissait d’une nécessité technique pour la production
de la version Tablette : afin de pouvoir commencer à la développer, les
équipes devaient s’arrêter sur une version stable du jeu. Une adaptation
de cette envergure requiert évidemment énormément de temps, tandis que
du côté PC, les MàJ ont continué à s’enchaîner : au final, c’est donc
près de 15 MàJ qui séparent les deux versions.
►Est-il prévu de synchroniser les deux versions dans un avenir proche ?
L’objectif
est que la version Tablette rattrape progressivement la version PC mais
les contraintes techniques sont telles qu’il est difficile de nous
engager à ce sujet. Par ailleurs, il est nécessaire de garder à l’esprit
que la version Tablette est une adaptation de la version PC, avant de
produire un contenu, il est donc nécessaire que ce dernier soit
opérationnel et stable sur le client PC, ce qui à l’heure actuelle
implique forcément un certain temps de désynchronisation.
►C’est nul alors, ça n’intéressera que les noobs et les débutants !
Cette
version se destine particulièrement aux joueurs qui vont découvrir le
jeu grâce à DOFUS Tablette. C’est un objectif important pour nous que de
nouveaux joueurs rejoignent le jeu et apportent une nouvelle audience.
Mais c’est également important pour vous, afin que la communauté puisse
continuer à se développer. En effet, nous voyons également de
l’intérêt pour les joueurs vétérans : avoir la possibilité de jouer à
DOFUS où que l’on se trouve, redécouvrir le jeu, remonter un personnage,
recommencer une aventure sur un serveur neuf… et tenter de faire partie
des meilleurs !
►Est-ce qu’on pourra jouer sur Samsung Galaxy ?
Nous
prévoyons de développer une version pour un maximum de tablettes
existantes sur le marché. Néanmoins, il existera des spécifications
minimales que les tablettes devront respecter pour que le jeu fonctionne
de façon optimale, il est donc probable que certains produits trop
anciens de la gamme Galaxy ne puissent pas faire tourner le jeu. Nous
communiquerons les spécifications techniques dès que possible.
►Est-ce que le nom « DOFUS Tablette » est définitif ?
Ce n’est pas certain, nous réfléchissons encore au nom que portera cette version.
Andy OS est une solution logicielle qui permet d’émuler Android
sur un PC ou un MAC . Cet émulateur se caractérise par la possibilité
de synchroniser son compte google et de retrouver sur son PC toutes ses
applications et services. Vous retrouverez ainsi sur votre ordi les
mêmes fonctionnalités de votre téléphone (hangout, whatsApp en version
mobile, etc …).
Andy OS permet aussi de transformer son téléphone en joystick. Votre
téléphone se couple à votre pc pour devenir une manette de jeux. Andy
OS est le plus complet OTB avec Market et accès au disque local.
- Fournit synchronisation transparente entre les ordinateurs de bureau et les appareils mobiles,
- Connecte Win / Mac avec les applications Android de lancement,
- Permet le téléchargement d'applications depuis n'importe quel navigateur de bureau directement sur Andy OS,
- Assure la plupart des mises à jour OS Android à tout moment,
- Apporte vos applications de communication et de divertissements mobiles préférées sur le bureau.
AMIDuOS est un émulateur Android pour PC. Il permet de
télécharger et d'installer des applications et jeux Android sur son
ordinateur comme s'il s'agissait d'un dispositif Android. Dans la lignée
de BlueStacks App Player, AMIDuOS simule tout, de l'interface Android
en passant par le clavier tactile jusqu'à la possibilité de simuler la
présence d'une carte SD. A noter qu'il n'est gratuit que 30 jours et
qu'après il vous en coutera 9.99$. Les installeurs complets offline sont
disponibles ici.
BlueStacks : un logiciel simplissime et tout-en-un permettant
de tester ou simplement d'utiliser des applications Android à partir de
Windows ou de Mac OS X.
BlueStacks apporte la possibilité d'accéder à un très grand nombre
d'applications Android. Le logiciel se présente sous la forme d'un "
Dashboard " (tableau debord) à partir duquel il sera possible de lancer
ou d'effectuer des recherches d'application.
L'installation du logiciel permet également celle d'une barre
d'outils BlueStacks permettant d'accéder rapidement à ses applis
préférées. Qu'il s'agisse d'applications de messagerie, d'information,
de musique ou de jeux, cette petite barre s'avère plus que pratique. On
regrettera toutefois de ne pas pouvoir la déplacer lorsque celle-ci
devient encombrante.
BlueStacks c'est également la possibilité de se connecter au " Cloud
Connect " via une application sur son smartphone Android et ainsi
retrouver l'intégralité de ses applications directement dans l'interface
PC ou Mac du logiciel.
Pour profiter pleinement des fonctionnalités de Bluestacks,
l'abonnement sur PC est de 2$/mois (soit 24 $ par an) OU de laisser
Bluestacks installer quelques applications en partenariat.
Ce projet initialement connu sous le nom d’AndroVM et
s’appuyant en partie sur AndroidX86 propose une expérience d’Android des
plus rapides et des plus fiables que les PC n’aient jamais connus. En
effet, Genymotion ne se concentre pas sur l’émulation d’un terminal ARM
(mobile) mais sur le virtualisation d’un portage d’Android pour
plateformes X86 permettant ainsi de décupler le potentiel de ce système
d’exploitation mobile en s’appuyant sur les ressources de votre unité
centrale.
De ce fait, vous jouissez aussi de graphismes léchés via le support
de l’accélération 3D en OpenGL. Genymotion met à disposition la
virtualisation de plus de 10 terminaux parmi lesquels on retrouve le
Google Nexus sous Jelly Bean, le Nexus One, le Nexus S ou la tablette
Nexus 7 ainsi que plusieurs devices en 10 pouces, tous disponibles avec
les applications Google (GAPPS) en option. Enfin, paramétrez facilement
la résolution d’écran, le type de connexion Internet, le GPS, le statut
de la batterie (simulation de décharge par exemple) et l’exécution
automatique ou non d’ADB au démarrage.
Genymotion fonctionne avec VirtualBox.
Il crée une machine virtuelle dans virtualbox, qui émule en temps réel
Android sur votre PC Windows, Mac ou Linux. Il offre aussi un accès root
et supporte les capteurs matériels. Il fonctionne bien et si vous avez
un écran tactile vous vous croiriez sur un TVpad.
Genymotion se scinde en 3 versions : gratuite, 99 € par an pour la
version développeur (+ de fonctionnalités), 299 € version Business
(support)
Portage complet d'Android 4.0.3 optimisé pour Windows (pas de machine virtuelle ici).
Il supporte tous types de résolution jusqu'à 1920x1080, gère
l'accélération matérielle, supporte le cache Dalvik, le clavier et la
souris et tourne sans accroc sous Vista, 7 et 8. Il s'agit d'une version
identique à celle qu'on trouve sur les tablettes. Malheureusement, pas
de Play Store sur cette version, vous devrez donc installer à la main
vos APK. Pensez à autoriser l'installation d'application d'origine
inconnue dans les paramètres.
Rendez-vous sur le site AndroidDrawer pour installer les softs de votre choix.
Windroy se lance en plein écran. Pour le lancer en mode fenêtré,
vous devrez vous rendre dans les variables d'environnement (Panneau de
config -> Système et Sécurité -> Système -> modifier les
Paramêtres -> Paramètres système avancés -> Variables
d'environnement).
YouWave est un excellent émulateur Android pour PC. Il permet
de télécharger et d'installer des applications et jeux Android sur son
ordinateur comme s'il s'agissait d'un dispositif Android. Dans la lignée
de BlueStacks App Player, YouWave simule tout, de l'interface Android
en passant par le clavier tactile jusqu'à la possibilité de simuler la
présence d'une carte SD.
Avec ce programme, vous pouvez accéder aux marchés d'applications
officiels pour Android, lancer des applications, jouer à des jeux,
enregistrer vos parties et jouer à des parties multijoueur en ligne.
En somme, tout ce qui est possible sur Android, YouWave le rend
également possible sur Windows. Pour installer des applications et des
jeux avec YouWave, vous pouvez passer par les Stores officiels
directement depuis l'interface ou utiliser l'APK des applications/jeux
que vous voulez installer.
Les applications qui sont en coe ARM natifs, qui requierent Flash,
ou des senrequire capteurs matériels ou qui utilisent des API avec des
sources fermées, ne sont pas supportés.
Si VirtualBox est installé sur votre PC, vous devez le désinstaller
pour être en mesure d'utiliser YouWave. Youwave est en période d'essai
pour 10 jours puis coûte 19.99$.